Texte et mise en scène Nadège Prugnard
Avec Pierre Marius Court, Jean-Luc Guitton, Gaël Guillet, Pierre Fernandes, Séverine Leblanc, Marie-Do Fréval et Nouche Jouglet Marcus
Musique et chant Géraud Bastar et François Fabre / Remerciements à Alain Bruel
Costumes Marianne Mangonne
« Tout tombe… Comment faire pour que le village ne meure pas ? Comment dire le chômage la désertification le silence qui tape le paysage nu la montagne la fraternité le vivant du monde rural ? Comment parler d’un constat de mort et en même temps du désir que quelque chose vive ? Quel cri ? Faut-il « mener les cochons sur les scènes du monde » ? Comment exploser le cliché folklorique du « Plouc » de campagne ? Quelle gueule quelle parole pour que ça vive encore et encore ?
– Tiens prends un pruneau ! Faut faire péter les tabous »
« Et je m’accompagne dans cette écriture des visages et des libertés de ceux que j’ai rencontré… Nous on aime le mot qui « claque » comme m’a dit Nathalie à Murat » NP